Une simple mission de repérage, voilà comment sa journée aurait dû se passer. Rien de bien grave quand on regarde, rien de bien inhabituel non plus. Clairement pas. A la base, il était sensé y aller avec Cheryl étant donné qu’il étaient sensé sortir en équipe parce que c’était plus safe ou il ne sait trop quoi et qu’il avait l’horrible chance de toujours tomber sur la rouquine. Le pire, c’était qu’il avait clairement envie de la frapper à chaque fois, dans exception quand ils venaient à sortir. Aujourd’hui ne changeait clairement pas de d’habitude et donc, il se retrouvait très rapidement à s’engueuler avec elle avant de partie de son côté comme un bébé qui boude. Ouais bon, sauf qu’un bébé, techniquement, ce n’est pas armé jusqu’aux dents. Du moins, pas qu’il se souvienne. Son pistolet à la main, il marchait lentement à travers un village une fois qu’il fut seul, puis s’enfonçait un peu plus loin, mais ce qui était bizarre, c’était qu’il avait l’impression d’être seul, ce qui était tout de même… Louche. Il n’aimait pas vraiment ça, mais bon, après peut-être que c’est seulement lui qui a un mauvais pressentiment totalement débile. Ça ne serait probablement pas la première fois, en fait. On s’y fait à force.
Mais, il avait raison ! Après quelques minutes, il n’était plus seul puisqu’il pouvait apercevoir au loin une tignasse blonde qui lui disait vraiment quelque chose, mais après tout… Des blondes, il y en avait à la pelle près d’Atlanta. S’il tombait – comme par hasard – sur Beth, il y aurait forcément une couille dans le pâté. Clairement. Il finissait tout de même par pointer son pistolet vers la silhouette, dans le cas où ça serait un zombie. « Laisse tomber ce que tu fais et retourne toi. » Dit-il d’un ton assez autoritaire, histoire de se faire écouter tout de même. Puis, quand la personne s’exécutait, il tapait un beug pendant quelques minutes. Il n’arrivait pas à croire que c’était vraiment Beth, la fille avec qui il avait passé un assez long moment à l’hôpital et qui lui avait tout de suite tapé dans l’oeil, la fille pour qui il avait eu un énorme coup de cœur qu’il était quasiment persuadé être réciproque. Mais, ce n’était pas pour autant qu’il s’était passé quoi que ce soit. Il faut dire qu’ils avaient tout de même d’autres choses auxquelles penser, puis ensuite, ils avaient étés séparés, bien contre le gré de Murphy. « Beth ? »

Murphy n’aurait clairement pas pensé la revoir. Enfin, il avait toujours l’espoir de la retrouver, il savait qu’elle était quelque part dans le monde, probablement pas loin et tout ce qu’il avait envie… C’était la retrouver mais en fait… Il n’aurait pas penser la retrouver si facilement, si rapidement. Il n’aurait pas pensé la retrouver dans un moment si banal. Bon sang, ce qu’il était heureux de la revoir, vous n’imaginez même pas. C’est probablement pour ça que lorsqu’il la voit se précipiter vers lui, il enroulait ses bras autour de sa taille pour placer son visage au creux de son cou, les paupières closes. C’était presque surréaliste, quand on y réfléchit bien. Il se demandait ce qui allait merder, là tout de suite. Peut-être qu’un mordeur allait se ramener et tenter de les bouffer. Pour être honnête, du moment qu’il était avec Beth, il s’en foutait pas mal en fait. « Moi aussi Beth, t’imagines même pas... » Enfin, techniquement si. Il sent bien que la joie est partagée, il sent qu’elle est soulagée de savoir qu’il n’a rien. Ou peut-être que c’est son soulagement qu’il ressent tellement fort qu’il a l’impression qu’elle ressent la même chose. Va savoir. En tout cas, pour l’instant, il s’en fiche pas mal. Il aura tout son temps pour réfléchir après. « Je croyais que je te retrouverais plus. » Ouais parce qu’en fait, ce n’était pas parce qu’il avait toujours espoir qu’elle soit là à quelque part, mais ce n’était pas pour autant qu’il n’y avait pas une partie pessimiste de lui qui lui chuchotait qu’il ne la retrouverait jamais. Faut dire qu’avec le pot qu’ils avaient tous les deux, ça ne serait pas vraiment étonnant en fait. Au contraire. Mais bon… Il avait toujours préféré son côté optimiste au reste. « S’il t’était arrivé quelque chose… Je crois bien que je serais allé tuer celui qui t’aurais fait du mal. »

Murphy ne voulait clairement pas la lâcher, jamais. Il était tellement bien avec elle dans ses bras, comme si c’était sensé être comme ça, qu’elle rentrait parfaitement entre ses bras. Et pour être honnête, c’était comme ça que Murphy voulait voir ça. « C’est le plus important. » Vraiment. Le fait qu’elle aille bien, qu’elle soit vivante… C’était tout ce que Murphy voulait dans la vie. Bon sang.. Ça lui faisait tellement de bien de la rencontrer. S’il avait été un peu joyeux en revoyant Octavia – pas trop parce que bon, c’est quand même la sœur de Blake – ce sentiment n’était rien comparé à ce qu’il pouvait ressentir là tout de suite. Il aurait presque l’impression qu’il pourrait sauter de joie. Non, il pourrait totalement le faire, mais il ne faut pas oublier qu’on parle de Murphy, là. Il n’était pas le genre de personne à faire ça. Au contraire. Mais le cœur y était. Tandis que les mains de la cadette des Greene allaient se poser sur les joues de Murphy, les siennes allaient doucement caresser ses hanches, tendrement. Comme si ça faisait bien trop longtemps qu’il ne l’avait pas fait, qu’il ne s’était pas montré doux avec elle. Mais c’était le cas.
Son front contre celui de Beth, il l’observait attentivement, regardant chacun des détails de son visage. Cette fille était vraiment magnifique, malgré son jeune âge – pas qu’elle soit bien plus jeune que lui, mais bon – c’est fou. Il avait de la chance qu’une fille comme elle s’intéresse à lui. Et pas seulement à cause de son physique, mais aussi de sa personnalité plus qu’adorable. « Qu’est-ce que c’est que cette question ? Bien sûr que tu m’as manqué. » Lui dit-il avant d’aller déposer ses lèvres sur son front. « Tous les jours, je sentais qu’il me manquait quelque chose et ce quelque chose, c’était toi. » Une phrase peut-être un peu trop ringarde, un peu beauf sur les bords, mais c’est ce qu’il ressentait.

Murphy n’avait pu s’empêcher de déposer ses lèvres sur le front de la blondinette, comme un acte de protection, comme un acte pour prouver à quel point elle lui avait manqué, mais… Il était quasiment persuadé que les mots et les actes ne pourraient décrire à quel point la blondinette lui avait manqué, tous les jours. Et le pire, c’est que la phrase plus que niaise qu’il lui avait sorti, il la pensait totalement. Tout le monde aurait pu penser qu’il aurait ressenti ça face à l’absence d’Emori, mais en fait… En y pensant, Emori n’arrivait même pas à la cheville de Beth. S’il pensait avoir des sentiments pour la mutante, qu’est-ce que c’était pour Beth ? Il n’était probablement pas assez cultivé pour mettre les mots là-dessus. Ce sourire presque niais ne quittant jamais ses lèvres, il caressait ses hanches tendrement alors que ses yeux ne quittaient jamais les siens. “Tu peux être aussi cruelle que tu le veux dans ce cas-là.” Répondit-il simplement et c’est vrai. Puis, de toute manière, il aime ça, qu’elle veuille s’assurer qu’elle lui avait aussi manquer. Ça montre qu’elle tiens à lui. Ou bien, qu’elle est narcissique comme pas possible, mais il sait qu’elle ne l’est pas, donc…
“Moi aussi Beth, moi aussi…” Soufflait-il, les sourcils légèrement froncés, il avait toujours peur qu’il lui arrive quelque chose qu’il se rende compte qu’elle ait été tuée, qu’elle soit devenue un zombie et qu’il doit l’abattre. Il ne pensait pas qu’il en aurait été capable, même si elle n’aurait plus été elle-même. Pour lui, ça aurait toujours été Beth. Il n’aurait pas pu lui faire de mal. Jamais. “Je sais pas exactement..Tu sais… il y avait tellement de zombie quand on est sortis... “ C’est ça qui les a séparés. Et après, ils ont probablement tenté de se retrouver, mais en allant chacun d’une autre direction.
Une de ses mains remontant lentement le long de son dos suite à sa question, après avoir doucement frissonner en sentant le pouce de la cadette des Greene, il ne répondait pas à sa question. Il se contentait de légèrement se pencher, closant les paupières pour poser ses lèvres sur celles de Beth. Il avait eut envie de l’embrasser depuis tellement de temps maintenant et ça valait le coup d’attendre. Même si le baiser était chaste, le simple fait d’être si proche d’elle, c’était un délice.

Le baiser qu’ils échangeaient, il avait été attendu par l’un et par l’autre, ils ne pouvaient le nier. De toute manière, ça ne servait pas grand chose de le nier, vous ne pensez pas ? Il avait l’impression que son coeur battait la chamade et que des papillons étaient entrain de danser au creux de son estomac et toute ces conneries que l’on peut lire ou entendre dans les choses à l’eau de rose. Tous les sentiments dont il s’était pas mal foutu de la gueule pendant un petit moment. En même temps… C’est tellement niais et pourtant, ça ne le dérangeait pas d’être niais avec Beth. Pas quand leurs lèvres mouvaient les unes contre les autres en parfaite harmonie et leurs mains posées sur le corps de l’autre. On pouvait sentir dans ce baiser la tendresse et tout ce qu’ils ressentaient l’un pour l’autre. Si Murphy aurait pu l’embrasser jusqu'à ce que le souffle leur manque, il fallait croire que l’univers n’était pas du même avis parce que, bien rapidement, un grognement se faisait entendre et la blondinette le lâchait pour poignarder le rôdeur en plein oeil.
Haussant un sourcil alors qu’il la voyait faire, il ne pouvait nier le fait que la voir comme ça, si badass, ça lui donnait vraiment envie de l’embrasser encore une fois. Cette fille était tellement belle et gentille, tellement désirable. Il se demandait comment il avait fait pour se trouver une fille aussi parfaite. “Crois-moi, je l’attendais depuis tout aussi longtemps.” Lui annonçait-il, caressant doucement la joue de la blonde, un petit sourire sur le bout des lèvres. Clairement, il l’avait attendu depuis tellement longtemps. Depuis qu’ils s’étaient vraiment rapprochés à l’hôpital, qu’ils avaient passé un long moment ensemble. Ou peut-être que l’envie avait toujours été là ? Prenant la main de la blonde, il hochait la tête. “J’te suivrais jusqu’au bout du monde, princesse.” Lui dit-il, commençant à marcher avec elle avant de tourner la tête. “Mais, où est-ce qu’on va ?” Lui demandait-il, assez curieux sur leur prochaine destination.

Il lâchait un faible rire, un sourire amusé sur le bout des lèvres quand il l’entendait parler alors qu’il la suivait de près, ses doigts entrelacées avec ceux de Beth. Ils marchaient vite, restant à l'affût, au cas où d’autres zombies seraient proches d’eux. S’ils étaient tous les deux bien contents de s’être retrouvés, ils ne devaient pas se laisser aller à ne penser qu’à ça, pas dans cette situation. Ils n’étaient pas seuls et autour d’eux, il y avait des zombies qui voulaient probablement les bouffer. Il valait mieux qu’ils fassent attention à ce que rien de grave ne leur arrive plutôt que ça. Alors on restera tout seuls tous les deux.” Annonçait-il avec un léger sourire en coin, passant sa langue sur ses lèvres pour les humidifier quelques secondes après. Il aimait que Beth avait l’air un peu plus sûre d’elle et ce qu’elle veut que lorsqu’ils étaient dans l’hôpital. Bon, il était déjà sous son charme quand elle était encore une petite blondinette timide, mais… Non, en fait, il ne saurait pas quoi commenter là-dessus parce qu’il est persuadé qu’il aurait un faible pour elle qu’elle soit timide ou non. Du moment qu’elle était Beth Greene. Mais bon, il faudrait pas qu’il commence à trop niaiser. C’est pas son genre.

Quand elle poursuivait, il hochait doucement la tête. “Okay.” Commençait-il avant de lâcher la main de Beth à contre coeur, décidant de se mettre devant elle, comme pour la protéger. Même si elle lui avait montré qu’elle pouvait le faire toute seule. “Reste derrière moi.” Dit-il assez bas. Il n’allait pas gueuler alors qu’ils n’étaient pas sûrs qu’il y avait des zombies ou non dans le bâtiment. Il espérait que non, même s’il devait bien avouer que le fait de tuer ces derniers, ça le dérangeait pas. On fait ce qu’on doit faire pour survivre, n’est-ce pas ? Ouvrant la porte, son couteau en main, il marchait assez lentement. Si au départ, il n’avait rien entendu, il en voyait un rapidement du coin de l’oeil qui venait sur leur droite. Il ne ratait pas une seule seconde avant de se mettre entre Beth et le bouffeur de cervelle, lui plantant le couteau dans… Bah justement, la cervelle. “Je crois pas qu’il y en ait d’autre. J’en entends pas, et toi ?”

Quand ils avaient décidé de s’occuper des zombies dans la baraque, Murphy était bien content parce que… Bah, il aimait passer du temps avec elle, et même s’ils allaient buter des gens, là… Bah, ils allaient être ensemble une fois qu’ils allaient avoir fini de nettoyer tout ça. Ce serait clairement une bonne chose, non ? En tout cas, lui, il pense que ce serait une bonne chose à faire. Il faut dire qu’il aimait passer du temps avec Beth. Il avait toujours aimé passer du temps avec Beth alors… C’est pas maintenant que ça allait changer, clairement pas. Donc bon… Il lui demande de rester derrière lui pour la protéger - parce qu’il a un étrange côté protecteur avec elle, alors que ça ne lui était pas vraiment arrivé avant Emori et Beth -, et ça allait. Il n’y avait qu’un seul zombie. Et ce n’était pas plus mal, au contraire. Murphy en était assez reconnaissant sur le coup. Il la regardait finalement quand elle parlait et hochait la tête. “Cool.” Qu’il dit doucement avant d’aller l’aider à fermer les portes et les rideaux en même temps qu’elle, histoire qu’ils ne se fassent pas voir, parce que ce serait tout de même assez embêtant dans le fond.

Il finissait par venir passer ses bras autour des hanches de Beth pour la serrer contre lui, les yeux clos, parce que ça faisait du bien de la savoir ici, qu’elle soit proche de lui, qu’elle soit en vie, qu’il l’ait retrouvé. Il était tellement soulagé à cette idée et l’avoir contre lui, ça faisait du bien. Surtout que ça faisait tellement longtemps qu’il attendait ça. Depuis qu’ils s’étaient échappés. “Moi aussi je suis soulagé, tu sais.” Qu’il lui dit, assez bas, mais assez haut pour qu’elle l’entende tout de même. Parce que c’est vrai, et aussi ce qu’elle continue à dire. C’était pareil pour lui. Il s’était tellement inquiété pour elle, vous n’imaginez même pas… Et pourtant, elle était là et elle allait bien. Et c’était tout ce qui comptait dans le fond. “Moi aussi, j’ai eu peur.” Dit-il totalement honnête. “Mais une partie de moi savait que tu irais bien, parce que… T’es Beth Greene quand même, on peut pas arriver à bout de toi si rapidement.” Qu’il dit avec un léger sourire en coin sur le bout des lèvres. Parce que c’est vrai. Beth savait se débrouiller, alors elle n’aurait pas pu mourir. C’est un peu comme lui qui n’aurait pas pu mourir parce que ça crève pas, la mauvaise herbe.

Il finit par baisser les yeux vers elle quand elle le regarde et hoche doucement la tête. “Ouais, j’ai retrouvé la soeur du garçon que j’avais pendu.” Octavia. La fille sur qui il avait tiré, qu’il avait voulu tuer, mais il n’y avait pas réussi. Enfin, il avait tiré sur Raven quoi. “Et toi ? Tu as vu des personnes que tu connaissais avant ?” Ce serait clairement pas plus mal si elle connaissait des gens, mais si elle avait vu personne qu’elle connaissait, il pourrait toujours clairement l’emmener dans son groupe même si… Il n’était pas sûr de vouloir qu’elle soit entraînée dans toute cette connerie… Mais en même temps, il ne voudrait pas la laisser s’échapper. Vous voyez le problème ?

“J’crois pas, moi.” Lui, il pense bien qu’elle est forte, une des personnes les plus fortes qu’il ait rencontré dans sa vie. Pourtant, il en a rencontré, des gens forts, des gens que rien ne peut tuer. Clarke, Bellamy, Octavia, Raven et même Emori. Ces personnes, tout comme Beth, il sait au plus profond de lui qu’elles ne pourront jamais mourir. Et si le côté Bellamy et Clarke ne le rends pas des plus heureux… Pour les autres, il est quand même bien content. Il faut dire que bon, ces filles-là, il a un minimum d’attachement pour elles. Que ce soit pour n’importe laquelle. Même si ce n’est qu’un minimum.

Ils finissent par parler et il hoche doucement la tête quand elle lui demande si c’est une bonne chose. “Je crois.” En tout cas, il faut dire qu’Octavia n’a pas tenté de lui sauter dessus pour le buter, donc on peut dire que c’est tout de même une bonne chose. Il faut dire que parmis les 100, c’est bien la seule qui le comprends alors… “C’est une fille assez cool.” Je sais pas si elle la connaît, mais… C’est pas bien grave. Il est bien content quand elle lui parle, quand elle lui dit qu’elle a rencontré des personnes. Il est tout de même assez heureux de savoir qu’elle n’est pas toute seule dans cette histoire. Sinon, il se sentirait pas forcément bien. ‘Fin… Il lui demanderait tout de suite à venir avec lui, parce qu’il voudrait pas la voir toute seule dans ce monde de brutes. Alors, quand elle lui dit être avec des gens et des gens qu’elle connaît en plus… Il ne peut nier le fait que ça lui fait plaisir. Et un max. Mais quand elle poursuite, il vient doucement prendre sa main pour entrelacer leurs doigts. Et il caresse doucement sa main de son pouce. “J’suis sûr que tu va les retrouver rapidement.” Qu’il lui souffle, tentant d’être le plus convaincant possible, même s’il doute un peu de ça. Parce que bon, ça risque quand même d’être compliqué.

Quand elle poursuit, il réfléchit pendant quelques secondes parce qu’il a, certes, un endroit où vivre, mais ce n’est pas pour autant que c’est vraiment un endroit où il pourrait se dire être réellement en sécurité. Il faut dire que Negan est un putain de psychopathe. “Je suis dans un espèce de vieil entrepôt.” Que je dis. C’est étrangement mieux que tout ce que j’ai déjà habité. Que ce soit une prison, une épave de vaisseau ou une grotte… On peut dire que l’hôpital ou même l’entrepôt sont un peu mieux… Niveau confort. Même si la plupart des personnes avec qui il est sont totalement tarées. Il en préférerait presque quand il bossait avec Bellamy, mais ce n’est pas comme s’il pouvait vraiment faire quelque chose pour s’échapper, maintenant. “Et toi ?” Il espère vraiment qu’elle a un endroit où rester. Un endroit où elle est en sécurité. Parce que même si ça paraît un peu niais… C’est tout ce que Murphy veut.