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[+18] So we can run free ft. Oliver Queen
AnonymousInvitéInvité

So we can run free
Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
Harley soupire. La main dans le sac. Elle sentait un regard s'attarder sur son dos. Elle l'avait pourtant bien vu quitter son petit campement. Elle avait bien vu qu'il était le seul à s'être mis à l'écart de la masse de passagers surement encore paniqués. Elle avait remarqué qu'il semblait avoir rapidement pris ses aises et elle comptait savoir s'il n'avait pas pu mettre la main sur une possible façon de s'échapper de l'île. Il semblait être un peu trop dans son élément alors qu'il venait à peine de sortir d'un crash aérien dont elle avait été témoin deux jours plus tôt. Elle avait surement pas été assez discrète ou assez méfiante pendant sa petite enquête sur lui vu la façon dont elle avait été si facilement piégée.

«Tu sais que je te suis depuis combien de temps? Elle se releva, alors qu'elle était encore accroupie en train d'inspecter dans l'obscurité ce que pouvait bien cacher l'homme dans son nid de fortune. Elle se retourna, un sourire aux lèvres, les mains dans les airs avant de reprendre la parole. J'ose tout de même ajouter qu'on ne me piège pas aussi facilement habituellement. Ou peut-être que si finalement. Mais bon, ça c'est une longue histoire.»

Elle savait qu'elle parlait parfois trop selon les gens, mais elle s'en fichait un peu. Et les gens finissait par s'y faire... Ou pas. Elle était peut-être juste resté ici depuis trop longtemps aussi. Elle avait arrêté le compte des jours qu'elle avait passé ici de toute façon. Trop désespérant. Elle était maintenant en pleine réflexion sur la marche à suivre...

Devait-elle lui faire croire qu'elle était une des passagères ou lui dire la vérité pour arriver plus vite à ses fins? Tout ce qu'elle savait, c'est qu'un peu de son charme pourrait peut-être faire avancer sa cause. Et puis, elle n'avait rien à perdre si on prenait en considération que l'homme était tout à fait agréable à contempler. Elle faisait maintenant que détailler le visage et la silhouette de l'homme sans aucune gêne par l'obscurité, ses pupilles s'ayant bien rapidement fait à celle-ci. Elle gardait cependant son attention sur les traits de l'homme, se demandant bien comment il allait réagir. Curieuse, un peu rieuse. Son amusement à peine voilée.  

(c) DΛNDELION


AnonymousInvitéInvité

So we can run free
Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
Quand il a entendu un des deux moteurs lâché il a tout de suite compris surtout vu que tout le monde s'est mis à hurler quand l'avion a fait un piqué, encore une fois ça ne sera pas des vacances comme les autres pour Oliver. Arrivé sur l’île il a d'abord cherché si des personnes avait besoin de lui et après avoir fouillé quelque valise de l'avion grâce à un couteau suisse qu'il a toujours pour lui il a enfin trouvé de quoi survivre, de la bouffe, de l'eau, des vêtements, une trousse de premier secours et surtout une arme, enfin qu'il a fait lui mémé et il est parti à l’écart de tous. Le revoilà dans son camp, devant son feu comme à l’époque de Lian Yu, devant son feu a essayé de survivre. Jusqu’à maintenant tout allait bien mais depuis quelques jours il voit une femme dans les bois, au début il a cru qu'il devenait fou, ce qui serait normal car manger des plats d'avion ou même boire peu ça peut vite faire devenir fou mais non donc il a opté pour un piège et elle est tombé dedans les deux pieds en avant. Il avait fait le tour et à peine parti elle était déjà en train de fouiller donc le voilà de retour avec son arc de fortune, et un revolver dans le pantalon avec sa flèche qui colle le dos de la demoiselle qui parle, il ne pensait pas qu'elle prendrait la parole en première et ça l'intrigua donc il la laissa finir avant de la reluquer et répondre "Je savais bien que tu me suivais mais je me demande surtout pourquoi tu fouilles dans MES affaires, si tu cherches de l'argent tu as frappé à la mauvaise porte mais dis moi déjà ce que tu fait ici et pourquoi moi, parmi tous les personnes sur cette île tu as quand même choisi le seul qui connaît mieux les îles que sa propre ville" Il ne lâche pas son arc, bandé et visant la jeune femme, la flèche pourrait partir à tout moment mais sa première envie c'est de savoir ce que cette belle jeune femme fait ici, dans ses affaires et dans son coin, il pensait être tranquille mais faut croire que par moments l’être humain est encore pire que l'animal sauvage et là il a un bon exemple.

(c) DΛNDELION


AnonymousInvitéInvité

So we can run free
Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
Elle aurait pu croire qu'elle avait eu un bon instinct de survie, seulement, ce n'était pas que le regard de l'homme qu'elle avait senti se braquer sur son dos, mais aussi une flèche. Elle avait pourtant continuer à être celle qu'elle était sans trop se soucier de cette arme. Elle avait beau être du mauvais côté, elle ne lui donnerait pas les réponses qu'il voulait aussi facilement sous la contrainte d'une flèche qu'il n'allait pas tirer. Elle le lisait dans son regard un peu sévère, mais avec une étincelle mystérieusement bienveillante. Une étincelle qui ne changeait pourtant par la nature un peu baladeuse de se regard. C'était flatteur et ça ne faisait qu'encore renforcer son idée sur le charme qu'elle semblait avoir sur la gente masculine.

« C'est bien ironique de dire que ce sont vos affaires, car je vous aie bien vu les prendre de valises ne semblant pas vous appartenir, mais bon, qui suis-je pour vous juger d'avoir fouillé et emprunté quelques bricoles?» Elle ne put retenir son petit rire fugasse. «Vous ne répondez pas réellement à ma question, mais bon, la réponse ne m'était pas si chère», dit-elle en soufflant sur une mèche lui barrant la vue, une petite moue entre la provocation et l'indifférence sur les lèvres.

Elle venait à peine d'ouvrir la bouche que déjà, tout tournait dans sa tête, programmé, alors que ses paroles semblaient simplement passer du coq à l'âne, elle était pourtant structuré, il fallait juste se frayer un chemin dans ce bordel, le côtoyer un peu plus longtemps qu'une rencontre de circonstance pour mettre le puzzle en place. Elle n'avait pas fini d'importuner l'homme malgré qu'il lui demandait de but en blanc ce qu'elle faisait là. Elle ne faisait simplement que lui donner des demi-mesure et le faire mariner un peu, après tout, s'il avait l'habitude de ce genre d'endroit comme il semblait le lui faire comprendre, il pouvait bien la divertir plus longtemps et donc faire en sorte qu'elle puisse s'amuser un peu. Depuis le temps qu'elle demandait de retrouver la civilisation, ne semblait-il pas qu'elle reconnaissait la nature sauvage de son ancien voisin chez cet homme bien énigmatique et pourtant si facile à décrypter à la fois.

« Je suis un peu vexée que vous n'ayez pas relevé la longue histoire, habituellement, on aime bien me la faire raconter, mais bon... Ça sera pour la prochaine fois.» Sa main battit l'air comme on avait l'habitude de le faire en pleine conversation avec une connaissance avant de glousser. Elle pencha alors la tête avec un sourire et les yeux pétillant d'un humour bien à elle. «J'avoue que ce ne sont pas les meilleures circonstances pour démarrer une discussion, c'est bien embêttant tout cela. Alors... Harley Quinn», dit-elle en tendant la main entre elle et l'homme, le regard enjoleur, ou à l'avis d'autre, un peu fou. «Je suis venue voir si justement vos connaissances ne me seraient pas utiles, et puis, j'avais peut-être laisser mon imagination aller, pensant que vous auriez pu mettre la main sur la radio-émetteur de cet engin et que par le plus merveilleux des hasards vous n'auriez pas été aussi confiant car vous aviez les capacités pour la réparer et aviez l'intention d'appeler des gens pour vous sortir d'ici en toute urgence... à l'abris des regards pour avoir une réponse et un hélicoptère plus rapidement»

Tout ces mots dit avec des yeux charmeurs, l'accusssant surement d'un plan qu'elle aurait elle-même fait si elle l'avait pu. Elle savait bien que c'était peut-être un peu étrange comme entrée en matière, mais elle était cash et avait besoin de lui faire cracher se qu'il savait ou du moins, qu'il puisse lui être d'une possible quelqconque utilité en plus d'être un délice pour les yeux. Bref, elle ne faisait pas dans la dentelle et aussi paradoxal que c'était, elle n'était pas bonne pour faire attendre ou faire monter le suspens même si c'était dans ses intentions ou ambitions. Elle était souvent comme ça. Tout ou rien. Ça passe ou ça casse. Blanc ou noir. Elle espérait juste que ça pousserait l'homme à vouloir entrer dans la danse plutôt que de rester à l'écart, les doigts encore sur son fil et cette flèche encore inutilement pointé vers elle pendant le petit interrogatoire qu'il semblait avoir entamé et qu'elle avait contourner et tourner autour avec sa douce signature de divagations maniérées.   

(c) DΛNDELION


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So we can run free
Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
Alors celle-là on ne lui avait jamais faite, en tendant la main elle a poussé l'arme d'Oliver qui la regarde un peu interloqué tout en écoutant quand même ce qu'elle lui dit. Il voit toutes les mimiques de la demoiselle, la dévorant des yeux car il faut le dire elle le charme avec toutes ses mimiques, lui l'homme avec un cœur de pierre, lui l'homme qui sort d'une rupture est en train de retomber sous le charme d'une femme et ça quelques jours après son arrivée sur cette île maudite donc pour ne pas montrer qu'il tombe sous son charme il reprend son sérieux en regardant à nouveau la main de la jeune femme avant de revenir à regarder ses yeux, tellement beau mais il doit rester fort et froid, comme il l'a toujours été "Moi c'est Oliver Queen avec deux E" Il lui serre la main avant d’écouter la suite de ce qu'elle dit et se décide à poser son arc et ranger sa flèche, c'est déjà un bon début pour elle, elle ne finira pas avec une flèche dans son joli ventre mais la suite, enfin la fin de ce que dit Mademoiselle Quinn le fit sourire: elle cherche un moyen de se casser de cette île, moyen que lui ne connaît que trop bien, passer 5 ans sur une île ça aide à savoir quoi faire et surtout quoi ne pas refaire. Oliver tourne autour de la jeune fille avant de se poser sur un tronc d'arbre avec devant lui un amas de ferrailles et avant de prendre la parole il l'invite à elle aussi s'asseoir en face de lui "Alors tu veux t'en aller toi aussi? Alors je ne veux pas faire le mec mais tu es la depuis combien de temps ? Car moi en quelques semaines j'ai réussi à sortir ça de l'appareil qui nous a emmenés; la boîte noire! Là-dessus j'ai réussi à trouver ce qui nous a fait arriver là, pourquoi surtout et surtout je sais qui contactait et comment et grâce à tous ses choses, ses câbles, ses plaques qui pour l'instant n'ont l'air de rien je vais, enfin on va vu que tu vas pas me lâcher je sens se casser mais vais falloir le faire à ma méthode et ma méthode applique de ne tuer personne, ne voler personne et surtout arrêter de foutre ton nez dans mes affaires, car en attendant tu as failli être transpercé d'une flèche et sache le ça peut piquer, crois en ma douloureuse expérience mais pour le moment c'est l'heure de manger, tu as faim? " Oui outre tout ce qu'on peut penser d'Oliver qu'il est sans gêne et surtout tellement hautain et sinistre c'est quand même un bon hôte et vu que la demoiselle qui lui plaît carrément quoiqu'elle joue un jeu est la eh bien il se doit d’être gentleman et de lui proposer le couvert si elle veut, on sait jamais si elle changeait d'avis sur lui elle serait peut-être moins peste et se plierait aux règles d'Oliver même si on est loin d’être à un endroit ou il est dominant car sur une île sa fortune ne l'aidera pas; il faut jouer avec ses méninges et ses beaux abdos et elle a bien compris la petite Quinn.

(c) DΛNDELION


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So we can run free
Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
Il était surpris de la voir tasser son arme en lui tendant la main, mais n'était-ce pas plus d'actualité, l'arc et les flèches? Elle lui dirait ce qu'elle faisait là et ce qu'elle cherchait, alors aussi bien lui rendre la tâche facile et arrêter de la menacer inutilement. Et puis, vu la façon dont il la regardait, elle pouvait bien imaginer qu'il avait d'autre envie que de la tuer. Elle retient un gloussement, face à la réaction et à cet homme qui semblait essayer de reprendre sa contenance, alors qu'ils se dévoraient tout deux des yeux.

Elle vit tout de même l'homme sourire, elle ne savait pas trop si c'était un sourire sincère ou narquois, mais c'était un sourire qu'elle aurait bien voulut faire s'éteindre en plaquant ses lèvres dessus. Elle était une femme très physique et le fait qu'il soit un quasi inconnu ne la perturbait aucunement, même que ça rajoutait un aspect bien intéressant à sa petite chasse à l'information. Alors qu'il lui tournait autour, elle ne perdait rarement l'homme du coin de l'oeil, lui montrant qu'elle ne lui ferait aucun mal et qu'elle avait confiance en lui en le laissant passer dans son dos sans se retourner.

Il finit par se poser sur un tronc d'arbre et l'invita à se joindre à lui. Elle s'aurait bien assisse sur lui s'il n'avait pas désigner celui d'en face. Elle fit donc sa femme bien élevée, croisa ses jambes et croisa ses bras sur ses cuisses, tout en plongeant son regard malicieux dans le sien tout en l'écoutant. Elle l'aurait presque interrompu pour lui demander si ce n'était pas assez évident. Elle voulait pas rester dans cette île de malheure encore plus longtemps. Elle le laissa tout de même compléter, sachant que la suite pourrait justement lui dévoiler les informations qu'elle avait d'abord penser découvrir en fouillant le camp de l'homme.     

Si elle avait cru que se serait plus difficile de lui faire dire ce qu'elle voulait savoir à l'homme, il fut tout de même expéditif. Elle ne savait pas trop si la modestie était une vertu qu'il ne possédait pas ou s'il voulait simplement lui faire comprendre qu'il lui disait tout cela pour qu'elle reste à sa place si elle voulait se casser et rester dans son camp. Qu'il avait fait et qu'il ferait tout le boulot comme un bon alpha si et seulement si, elle se pliait à ses ordres. Cependant, elle n'était pas une femme si facilement impressionnable lui ferait elle comprendre bien assez tôt. Elle serait son toutou si c'était un mal nécessaire, mais il était mieux de fournir les récompenses lorsqu'elle le demandait. Elle souriait, sans se cacher et aussi transparente que jamais, elle décida de prendre aussi la parole.

« Je suis ici depuis assez longtemps pour dire que ma disparition n'attriste plus personne. Même qu'elle doit en faire sourire certains. J'ai jamais fait dans le meurtre, ni dans le crime organisé, mais voilà, j'ai tendance à avoir les yeux plus gros que le ventre et ma curiosité devient facilement mon plus vilain défaut, si on ne compte pas mon amour des discussions sans tact. »

Elle ne pouvait s'arrêter d'étudier ses pupilles, son regard et le corps de l'homme qui semblait bien musclé sous ses vêtements qui serait bien mieux ailleurs que sur ce corps divin. Elle souriait, envieuse, alors que la phrase de l'homme lui revenait en tête. C'était l'heure de manger. Et le menu qui lui était offert dans le moment était parfaitement dans ses goûts.

« Que la chasse commence, je parie? », ajouta-t-elle en essayant de lui faire comprendre qu'elle pourrait bien servir de lièvre s'il le voulait bien. Un sourcil arqué vers le haut, alors que ses yeux brillaient d'une envie différente, d'une faim plus complexe à combler. Elle était bien impatiente de voir si la tension du moment continuerait à évoluer dans le sens qu'elle le voulait, dans le jeu qu'elle adorait jouer, le jeu du chat et de la souris. Plus qu'à savoir qui serait le chat et qui serait la souris au prochain tour...

(c) DΛNDELION


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Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
La chasse ce n'est pas le fort d'Oliver, la seule chasse qu'il fait c'est celle aux femmes et il en ferait bien une avec mademoiselle Quinn même si on est sur une île, des fois un peu d’effort physique mais le plus grand bien mais pour le moment il veut se la jouer encore méfiante même si ses yeux et son corps ne disent pas la même chose en s'approchant un peu d'elle avant de prendre une bouteille d'eau, ce n'est pas de sa faute si les bouteilles sont ici, ou alors il l'a fait exprès. Il sourit et cherche un peu dans son attirail avant de sortir deux sortes de hache et en tendre une à la demoiselle "Tu crois que moi ça attriste quelqu'un, je suis là depuis tellement de temps ici que je sais même pas en quelles années, mois ou jour on est! Je te cache pas que je t'aurais connu hors de cette île je pense que ta disparition m'aurait attristé mais a croire que les gens ne te méritent pas du tout. Tu as le choix, soit tu te sers de cette hache pour tuer un animal avec tes belles petites mains mais essayes d'en avoir un assez "gros" soit tu t'en sers pour couper du bois car je te cache pas qu'on a besoin d'un feu car il va commencer à faire froid et même si ça me dérange pas de te réchauffer à ma façon pas sûr que toi tu veuille" Il se met à rire avant de bien se demander pourquoi il a dit sa, des fois il dit des choses bêtes et là il s'en rend compte, la fatigue? le manque de contact humain? les hormones? Il ne sait pas à part qu'il a envie de lui sauter dessus à chaque seconde où il pose les yeux sur elle mais il doit se calmer donc il part dans la forêt de son coté pour choper un animal, il garde un œil sur la demoiselle même si parfois il la perd de vue et dans son subconscient il aimerait que d'un coup ça ne soit pas un animal qui lui saute dessus mais la demoiselle donc après avoir trouvé un animal qui pourrait leur servir de repas il se pose et essaye de reprendre le dessus avec lui-même, allez Oliver essayer d'oubli Mademoiselle Quinn et concentres-toi car autrement ce soir ils pourront rien manger, à part la langue et le corps de l'autre et même si ça ne le générait en aucun cas il doit être sûr que c'est réciproque il ne voudrait pas passer pour un dalleux, ce n'est pas son genre.

(c) DΛNDELION


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Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
À peine la question posée que l'homme s'approchait d'elle. Elle ne savait pourquoi, mais si elle devait être la présumée proie, ses yeux le dévorait comme ceux d'un prédateur, prête à lui sussurer ce qu'il voudrait bien entendre pour qu'il se penche un peu plus vers elle, mais elle réalisa que l'homme ne fasait que prendre une bouteille d'eau situé à ses côtés. Elle aurait presque rougit ou détourner le visage si elle avait la moindre pudeur, mais ce n'était pas le cas. On lui avait donné un physique avantageux et elle comptait bien l'utiliser, surtout si elle pouvait faire en sorte que ce monsieur Queen lui fasse rappeler ce que c'était que d'avoir un corps pour vous réchauffer et vous rappeler la sensation d'une peau contre une autre. D'un souffle, de lèvres, de mains qui effleurent ou qui aggrippent...

Elle finit par battre un peu des paupières réalisant que l'homme lui tendait une hache, calmant ses prochaines pensées sans pour autant que ses gestes ou son non-verbal ne montrait pas une certaine once de provocation. Elle était une allumeuse, et si elle le savait bien, l'homme en face d'elle semblait lui avoir lancé une invitation bien tentente après lui avoir confier qu'elle lui aurait manquer s'il l'avait connu à l'extérieur de l'île avant de s'éclipser chasser. Elle ne savait pourquoi, mais malgré l'amertume qu'elle ressentait, elle était émue d'entendre ce genre de chose. Elle n'était pas habituée à ce genre d'affection. Elle n'était pas la même sur l'île et le savait, mais lui semblait l'ignorer et peut-être que c'était mieux ainsi, mais elle n'avait que cela en tête lors de sa petite chasse personnelle, ne sachant pas encore si elle s'attaquait au bétail ou au bois encore.

Elle finit tout de même par s'amuser à entrapercevoir l'homme à travers les arbres, tout en se cachant parfois et en réapparaissant avec un visage candide, comme si elle se cachait d'un enfant, son visage s'illuminant et sa bouche s'ouvrant en air d'étonnement une fois, en un sourire une autre fois et un clin d'oeil avant de décider de laisser l'homme la chercher du regard plus longuement. Elle fit tant bien que mal le moins de bruit possible avant de taper sur l'épaule de l'homme, se trouvant maintenant derrière lui.  Elle se placa pour pouvoir lui susurrer à l'oreille le plus honnête du monde.

« Je n'étais pas réellement une bénédiction avant d'arriver ici, et si tu traînais avec moi, c'est souvent parce que tu avais des ennuis ou que tu cherchais à mettre ton nez là où il ne fallait pas. Mais tout le monde change, surtout sur une île déserte à l'abri du monde extérieur, se faire oublier un peu, se retrouver et pourquoi pas faire des rencontres plus intéressantes. »

Encore derrière lui, elle fit glisser sa main de l'épaule de l'homme jusqu'à sa clavicule délicatement avec la paume de sa main, alors que ses lèvres approchait dangereusement du cou de l'homme et que sa main se dirigeait vers le pectorau d'Oliver. De son autre main, elle prit un canif dans la poche de l'homme avant de faire passer son deuxième bras sur l'épaule droite de l'homme pour lui montrer ce qu'elle lui avait pris, avec un sourire franc et victorieux.

« C'est dur d'imaginer qu'un aussi joli minois puisse te faire les poches, mais voilà, ce n'était pas pour te voler, c'était davantage pour te montrer ce qui me définissait autrefois. Te prévenir que je ne suis pas l'ange miraculée dont le départ t'aurais attrister. Faut faire attention à qui on fait confiance, monsieur Queen. »

Et comme un chat, elle avait les yeux qui brillaient, se demandant bien la réaction de l'homme attendant qu'il se retourne ou qu'il lui attrape le poignet. Elle a qu'une seule envie maintenant, qu'il se retourne, qu'elle puisse le charmer en bonne et due forme. Après tout, ce n'était pas son plan premier de se dévoiler ainsi, mais elle n'avait rien à perdre et sa mission de départ était encore quelque part dans sa tête, alors qu'une autre partie d'elle avait simplement envie de profiter de la présence de l'homme et se rappeler c'était quoi s'amuser, aimer pour un instant.  
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Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
La main de la demoiselle qui se promenait sur le corps d'Oliver ne pouvait que lui donner chaud, lui seul peut le savoir, mais passer tant de tant sans une femme et surtout tant de temps seul cela n'aide pas et là cette femme lui plaît, nous ne saurons pas pourquoi, mais ce côté fouine et ce côté mauvais lui plaisent, lui qui a toujours été avec des cruches ou avec des filles toutes gentilles a peut-être besoin de ça d'une femme pas parfaite et alors qu'elle vient de lui piquer son canif il réussit à se retourner passant ses mains dans le dos de la demoiselle pour rester proche d'elle et viens lui répondre avec un sourire "Mais qui te dit que je suis une personne bien moi? Je suis aussi sur cette ile et si je suis là c'est pour fuir mes vieux démons il faut que tu le saches. Après que tu m'as volé mon couteau c'est bien, mais tu oserais me faire du mal, moi qui t'offre le gite et le couvert est surtout qui peut t'offrir beaucoup plus si tu lâches ce couteau. Je sais que tu as envie de partir et j'ai les moyens de nous sortir d'ici, mais après on est dans un moment hors du temps, loin de nos vieux démons tu n'as pas envie d'un peux en profiter, seul ou avec moi" Pendant tout le temps de sa phrase il ne l'a pas lâche des yeux et petits à petit l'espace entre les deux se rétrécit, il peut sentir maintenant son souffle, il peut sentir son parfum même si c'est un parfum très "animal" et surtout il n'a pas arrêté de reluquer la jeune femme et sa bouche et on le voit qu'il se fait des films de folie avec cette bouche. Le jeune homme la regarde et cette proximité et d'un coup comme poussé par une force il l'embrasse, un baiser doux et furtif avant de se reculer avec un sourire, comme un défi à la jeune femme en laissant cette proximité proche et en sachant lui-même pourquoi il a fait ça, elle pourrait s'en servir contre lui, mais à ce moment la il a envie de partager et de rester hors du monde avec elle.

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Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
Elle n'est pas réellement décontenancée de sentir les mains de l'homme s'enrouler dans son dos. Elle reste tout de même surprise. Certes, elle se doutait qu'il était un homme à femmes, seulement elle reste étonnée. Elle l'imaginait davantage avec des femmes douces et plus naïves, moins entreprenantes. Il semblait plus être un homme dirigeant et elle était loin d'être une femme qui allait obtempérer sans un peu de caractère. Elle se savait indépendante, seulement lorsqu'elle jouait les hommes accrochait à l'image qu'elle leur donnait, flatter leur ego, mais lui, il mordait déjà à son charme, à sa folie et à son côté débridé. Elle ne pouvait nier qu'elle n'avait pas autant envie qu'il cède qu'elle. Elle n'avait pas toujours affaire à des hommes aussi charmants que monsieur Queen.

Aussitôt qu'il commença à la narger avec son sourire, elle ne put que sourire et de façon un peu théâtrale avoir un expression offusqué sur ses traits. Comme si elle lui disait  « Voyons, moi? Je ne ferais pas de mal à une mouche.» Et c'était vrai, elle n'était pas une femme qui se baguarrait ou menaçait physiquement, sauf si nécessaire. Ou si elle se sentait en danger. Elle était plus une recolleteuse d'informations pour faire chanter ou obtenir des informations pertinentes et pouvant parfois mener à la perte des gens, mais elle n'était pas là pour un contrat, mais pour qu'il l'aide à retrouver la civilisation.    

Elle aurait bien voulu répondre, le contredire en ne croyant pas un seul instant que l'homme était malveillant, il semblait bien mystérieux et peut-être avoir un lourd passé, mais elle savait reconnaître les bonnes des mauvaises personnes. Il n'était pas du tout dans la catégorie des gens qu'elle voulait anéantir pour une raison obscure et parfois de façon inconsciente lors des premiers rapprochements. Il était davantage dans la catégorie d'homme qu'on voulait sauver, aider, aimer, mais pour cela, il lui aurait fallu être une femme sans problème. Du moins, c'est comme cela qu'elle voyait les choses avant ce petit avant-goût, ce baiser. Doux, mais au timing parfait. Elle ne s'était même pas rendu compte qu'au fur et à mesure que les lèvres du belâtre remuaient, son corps s'était rapproché comme celui de l'homme de l'un et de l'autre. Que leur souffle s'emmêlaient presque, que la fraîcheur sur son visage était devenu moins glaciale et plus chaleureuse.

À peine qu'elle tente d'ajouter un peu de fougue à ce baiser qu'il s'éloigne avec un petit sourire provocant sur les lèvres, un air de défi, les yeux pétillants. Elle le regarde avec un air désapprobateur avant d'agripper l'homme et de l'amener vers elle sans rien dire. Avant de bruscumment le faire reculer.

« Si tu veux en profiter, j'espère que ce sera avec moi. Je préfères être dans le feu de l'action que de contempler, même si depuis le début de notre rencontre je m'en contente. »  

Après tout, quelques heures de plus ici ne changeait plus rien à son impatience de partir, même qu'elle pouvait au moins combler une de ces envies du moment en entraînant l'homme contre elle et en attrapant la nuque de l'homme d'une main et en faisant passer son autre bras sous celui de l'homme pour agripper le torse de l'homme, se plaquant contre lui de tout son âme. Elle n'interrompt ses baisers que pour retrouver son regard, reprendre son souffle et mettre la main de l'homme sur le derrière de sa cuisse pour lui demander de façon explicite si elle pouvait enlacer ses jambes sur son bassin.      
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Qui aurait pu imaginer cela il y a encore quelques minutes, lui l'homme dont personne ne fait fondre le cœur, lui l'homme toujours seul est bouche a bouche avec cette fille qui est tout le contraire de ce qu'il a pu côtoyer dans sa vie, mais cette fois avec les yeux qui pétillent et une folle envie d'aller plus loin, oui je pense que la partie de chasse est finie à ce moment-là et le jeune archer ne veut plus rien, s'il voudrais aller plus loin avec elle et ça dans très peu de temps? Il ne lâche pas le baiser avec la jeune femme et il invite même la jeune femme à enrouler ses jambes autour du bassin de l'homme. Dans le moment présent Oliver ne voit plus qu'il est sur une île, qu'il est dégueulasse et qu'il voudrait partir sur le moment il pense seulement à la jeune femme à qui sa bouche est collée, au corps qu'elle a et qu'il commence à découvrir plus le temps passe et plus ses mains se baladent plus il a envie de passer un cap avec elle, un cap qu'il n'avait plus passé depuis Felicity. Le jeune homme stoppe le baiser un petit instant pour lui sourire et lui dire avec une voix beaucoup plus suave et plus animale "Si on passait au plat de résistance? Tu veux être actrice de ce moment sur l'île et tu veux aussi en profiter? Eh bah à toi de me le montrer alors" Après cette phrase très claire et lourde de sens le jeune homme la soulève, laissant ses jambes autour de ces hanches et il l'emmène jusqu'au camp, bon on va dire qu'il n'était pas parti très loin. Arrivé au camp il la pose sur une peau de bête qui doit lui servir de lit en restant bien sûr au-dessus d'elle pour ne pas lâcher ce baiser et rapprocher leur corps, le t-shirt du jeune homme vole assez vite et les deux continuent ce baiser passionné, on peut sentir son cœur battre la chamade, ses yeux pétiller et ce baiser n'est pas un baiser de manque, mais un baiser recherché, le jeune archer a succombé à la beauté et à la folie de la blonde et il n'a pas envie de la lâcher, ni elle ni sa bouche et ses mains, elle, continuent à caresser et apprendre ce corps qu'il faut le dire est exceptionnel.

(c) DΛNDELION


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Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
Ça faisait tellement longtemps qu'Oliver n'avais pas vécu çà et là sur cette île au milieu de tout et de rien il est en compagnie d'une super blonde et autant dire que leur jeu sensuel va se continuer encore un bon bout de temps. Nous sommes à l'orée du lendemain matin quand la lumière entre dans la hutte Oliver et le premier à ouvrir les yeux, sous une peau de bête avec coller à lui cette mémé blonde, non hier n'était pas un mirage du a de l'eau pollué de cette île qui coule au niveau de l'avion. Le jeune archer se lève, s'habille même s'il n'a pas vraiment de voisin et commence à partir chercher à manger et à boire pour sa belle. Il cherche un peu, car sur l'île on ne va pas trouver des viennoiseries et du lait au chocolat ou du café à tous les coins de rue donc pour ce matin se serait baies et petit jus de fruit. Alors qu'il revient il voit du mouvement dans la hutte, c'est la jolie Harley qui se réveille et donc il entre venant se coller à elle un petit peu avant de retourner à ses occupations, un petit câlin le matin ça fait toujours du bien. Oliver attend donc que sa dulcinée du jour et il espère pour encore très longtemps se lève et en attendant essaye de faire un petit déjeuner, enfin si on peut appeler ça comme ça le mieux qu'il peut, car si elle peut rester et pourquoi ne pas partir tous les deux ensembles ça serait super même s'il aime cette île il aime je pense plus la compagnie de cette femme.

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So we can run free
Harley & Oliver

«Rules you don't like, but you're still gonna keep 'em»
Elle n'était plus habituée de dormir si profondément. Elle qui était du genre à se lever la première, elle fut surprise d'entrouvrir les yeux en semi grommelant face aux rayons du soleil et de constater qu'elle était maintenant seule. Elle tenta de refermer les yeux et de s'enrouler dans la peau de bête qui leur avait temporairement servi de couverture pour la nuit. Elle fut étonnament heureuse de sentir les bras de l'homme l'entourer à son retour. Elle n'avait pas vraiment de souvenir similaire. Elle était plutôt avec des hommes qu'elle tentait d'enrouler dans la farine pour le plaisir de ses clients à moyens aisés au lieu de se lever à côté d'un homme qu'elle avait choisi.

Elle avait peut-être aussi tombé dans ses bras pour pouvoir quitter l'île, mais elle ne s'en voulait qu'à moitié d'avoir jouer de la sorte, car en fait, il l'intriguait. Elle ne savait pourquoi, ni comment, mais cet homme lui soufflait de la nouveauté et de la passion. Une nouvelle vie qui pourrait lui sourire. Une vie normale, mais avec un homme qui ne semblait pas banale comme tout un chacun. Elle avait beau savoir séduire, elle avouait être un peu intimidée pour la suite des choses. Elle ne comptait pas simplement lui tirer les vers du nez à cet homme. Elle se disait qu'elle pourrait bien, pourquoi pas, s'amuser à tracer un bout de chemin avec lui.

Elle le regardait porter un soin à lui offrir un petit déjeuner digne de ce nom malgré la complexité de la situation et de leur environnement. Elle se sentait flatté, alors qu'elle était à peine vêtue et qu'elle le regardait, un regard doux et pétillant. Elle souhaitait découvrir ce que l'homme cachait et aussi qu'il lui montre tout ce qu'il avait fait comme démarche pour quitter l'île. Seulement, pour l'instant, elle se contentait de le contempler tout en croquant dans les fruits. Elle eut un instant une hésitation à lui parler du village sur l'île qu'il se trouvait, avant de balayer tout cela pour rester dans cet idylle, presque surréaliste. Seule avec cet homme des bois aux nombreuses ressources.  


RP TERMINÉ

          
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